Luc Blanvillain
Sur les roses
Pour commettre l’irréparable, rien de mieux qu’un bibliothécaire amoureux.
Il y a un côté Marcel Aymé dans le regard, entre tendresse et cruauté, que Luc Blanvillain pose sur la nature humaine, les facéties du destin, « l’infinie fragilité de tout ». Amateurs d’eau de rose, passez votre chemin.
Christian Authier
Le Figaro Magazine