Gabriel Josipovici
Le Cimetière à Barnes
En souvenir de Bernard Hoepffner, ami cher, traducteur incomparable.
Traduire les pertes. Dans un roman court et subtil, Gabriel Josipovici dresse le portrait d’un homme en deuil à travers les trois étapes d’une vie discrète et insondable […] Le Cimetière à Barnes s’inscrit dans la continuité d’une œuvre raffinée, portée par une langue élégante et claire, qui se méfie des effets trop appuyés, leur préférant la tranquille constance d’un ton posé qui permet à l’auteur de construire une complexe architecture derrière une apparente simplicité.
Guillaume Contré
Le Matricule des anges