Le bleu du ciel est déjà en eux

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Stéphane Padovani

Le bleu du ciel est déjà en eux

D’âmes et de fantômes

Xavier Houssin Next- Libération

D’une ville de l’Europe à l’autre, le réel est trouble, âpre. Parfois même il menace.
Empreints d’une étrangeté familière, les personnages de ces récits 
— guetteurs mélancoliques, orpailleurs du présent, rêveurs éperdus et cabossés — semblent chercher dans leur existence des voies de secours que seules les rencontres peuvent offrir. Pourtant ce bleu du ciel qu’ils veulent si ardemment est déjà en eux…

Un insoupçonné minerai intime pour transcender le présent.

Jacques Josse remue.net

Au lecteur inconnu ? […] Une langue qui peut aussi bien être refuge que terre d’exil.

Marc Ossorguine La Cause littéraire
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Stéphane Padovani Stéphane Padovani

Stéphane Padovani

Stéphane Padovani est né en 1966 à Courbevoie et a vécu en région parisienne jusqu’en 1999. Il a animé quelque temps un atelier d’écriture en maison d’arrêt. Il...

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Des nouvelles mystérieuses pour faire l’éloge du langage comme barrage à l’incendie du monde contemporain. Magnifique.

Une sensation étrange, lente, de fin de nuit, d’entre-deux, de rendez-vous ratés, de tristesse confortable. Très fort.

Emmanuel Gédouin Le Tour du nombril

Neuf nouvelles denses et oniriques aux faux airs de contes philosophiques.

Sophie Westendorp Dissonances

La langue est l’essentiel de ces textes… Atténuer les effets d’une réalité dévastatrice et brutale par la magie de la poésie… et la petite flamme du langage.

Nikola Delescluse Paludes 786

Très remuée par Le Bleu du ciel est déjà en eux, ces nouvelles comme autant de courts romans sont fascinantes.

Brigitte de Meeûs Librairie Tropismes, Bruxelles

Une puissance d’évocation et un univers rare, un auteur qui emploie avec beaucoup de parcimonie le fantastique, une poésie à fleur de peau, rappelant l’importance de l’échange, de la langue, des mots et du partage.

Se sauver soi-même, se dévoiler, souvent grâce à l’autre, s’attacher ou non au lieu où on se trouve, voici deux thèmes de ce recueil de nouvelles dont chacune porte un verbe pour titre : traduire, se noyer, pleuvoir, occuper, brûler, conduire, éclairer, garder […] Quel que soit le lieu, les personnages semblent de passage, déracinés, perdus. Avec l’écriture tantôt fluide tantôt chaotique, le recueil reflète le sombre spectacle européen d’aujourd’hui…

Bogumila Szast Médiathèque de Meudon

Stéphane Padovani nous convie à des fictions troublantes, comme étrangères. L’épure n’est pas que dans la brièveté mais dans ce qui est porté oralement. Inventez-vous, voilà ce à quoi il semble nous inviter.

Jean-Albert Mazaud