Le livre que je ne voulais pas écrire

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Erwan Larher

Le livre que je ne voulais pas écrire

L’un des livres les plus puissants de la rentrée.

Jean-Claude Lebrun L'Humanité

Je suis romancier. J’invente des histoires. Des intrigues. Des personnages. Et, j’espère, une langue. Pour dire et questionner le monde, l’humain.
Il m’est arrivé une mésaventure, devenue une tuile pour le romancier qui partage ma vie : je me suis trouvé un soir parisien de novembre au mauvais endroit au mauvais moment ; donc lui aussi.

Prix Millepages 2017

L’horreur selon Larher. Un récit qui échappe à tous les cadres.

Pierre Vavasseur Le Parisien

Un petit bijou de littérature ET d’humanité.

Michel Dufranne La RTBF
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Erwan Larher Erwan Larher

Erwan Larher

Erwan Larher est né à Clermont-Ferrand – hasard d’une affectation militaire paternelle. Un jour, suite à ce qui pourrait ressembler à une crise de la trentaine, il quitte l’industrie musicale dans laqu...

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Le livre que je ne voulais pas écrire apporte de la grâce dans la vie.

Philippe Jaenada Le Monde des livres

Un exercice périlleux qu’Erwan Larher relève avec brio, digne dans la douleur, allant au-delà du simple témoignage pour livrer une réflexion métaphysique sur la mort, doublée d’une leçon d’écriture.

Amandine Schmitt Bibliobs

L’amour, cet antiterrorisme

Thierry Guichard Le Matricule des anges

Le livre dont tout le monde parle… et un très bel entretien !

François Alquier Les chroniques de Mandor

S’attaquer au Bataclan : une métaphysique de la mort imminente.

Virginia Bart Le Monde

Le livre que je ne voulais pas écrire est-il un livre que nous ne voulions pas lire ? Ou que nous n’aurions pas voulu lire ?

Gabrielle Napoli En attendant Nadeau

Un livre qui expose sa propre genèse, ses propres hésitations ; un livre paradoxal, où le témoin, le survivant, l’homme blessé, s’impose avant tout de demeurer un écrivain et lutte, modestement mais sûrement, pour cette exigence.

La forme fait écho au fond : le collectif transcende l’individuel. Et c’est aussi ce qui fait de ce «livre que je ne voulais pas écrire» le livre qu’il faut lire.

Julie Malaure Le Point

Un livre magnifique, important, unique.

«Je voulais éviter le nombrilisme.»

Entretien avec Baptiste Liger L'Express

Un regard intime sur le Bataclan… Entretien

Mathieu Lagouanère Le Midi Libre

«Dans ta gueule, la Mort.» En marge, ni roman ni récit, qu’importe. Objet de littérature, en plein dans le cœur de l’humain. À vif. Vivant.

Béatrice Courau actualitté.com

Erwan Larher, rescapé du Bataclan: «Sur mon brancard, je me suis demandé : “Est-ce que je suis bien pour les télés?”»

Propos recueillis par Laure Beaudonnet 20 Minutes

La vie d’après. Comment écrire l’indescriptible violence ? Dans leurs livres respectifs, Erwan Larher et Frederika Amalia Finkelstein mettent des mots sur les blessures individuelles et le traumatisme collectif des attaques terroristes du 13 novembre 2015.

Entretien avec Olivia Gesbert La Grande Table

C’est un livre de chair, de sang, d’os, et ce qui ressort de tout ce sang, ces chairs, ces os, c’est au final une belle et grande envie de vivre, sans même la prétention d’en découdre avec la mort. Il n’y a aucune velléité de morale, juste de l’amour.

Stéphanie Joly Paris-ci la Culture

Ce livre bouleversant, plein de vie, de tact, de pudeur et d’humour…

Jacques Josse remue.net

Erwan Larher renverse la portée de cette tragédie en nous incitant à mieux vivre ensemble, ôtant ainsi aux terroristes leur victoire.

Emmanuelle Caminade La cause littéraire

Un travail profondément littéraire qui, passant du «tu» au «il», tend tout entier vers ce moment magistral où Erwan Larher enjambe ce drame pour «redevenir je».

Hubert Artus Lire

Erwan Larher choisit d’élargir l’angle, de ponctuer son récit des témoignages de proches vivant l’événement de l’extérieur, et réussit avec ce livre totalement bouleversant à faire de ce drame, notre drame. Définitivement.

Philippe Blanchet Rolling Stones

Un livre puissant , dérangeant, bluffant.

Antoine de Caunes Popopop, France Inter

Le Livre du mois. Ecrire sur le 13 novembre.

Baptiste Liger Technikart

C’était pas le bon jour pour arrêter d’écrire !

«Ce bouquin occupera toujours une place à part.» […] L’un des livres les plus bouleversants de cette rentrée littéraire.

Nicolas Blondeau Le Progrès

L’attaque terroriste du Bataclan, il l’a vécue dans sa chair. Erwan Larher, écrivain
installé dans la Vienne, a fait de cette nuit «un objet littéraire». Puissant.

… alors elle m’a dit qu’elle avait encore le cœur tout serré en repensant à ce qu’elle venait de lire…

Filez chez votre libraire, acheter cette paire de santiags, et oublier le reste du monde, tout le reste peut attendre, sauf cette lecture.

Charlotte Milandri L'Insatiable

C’est un bouleversement. Ce serait mentir de dire que c’est un des livres importants de la rentrée car ce serait réducteur : c’est un livre important. Point. Important tout court.

Julien d'Abrigeon Tears in my beers

Leçon d’écriture in vivo : rester intelligent tout en étant poignant, à partir d’une expérience personnelle atroce. Du grand art, et pas uniquement.

Un livre indispensable à qui a peur de demain […] Erwan Larher réussit à être ce funambule de l’instinct qui penche d’un côté à l’autre d’un fil avec un stylo affûté dans la main comme unique balancier.

Un des grands livres de la rentrée. Si mes mots peuvent aider ce sacré bon et nécessaire bouquin, je serai un libraire heureux. Ce roman distille le riff de la vie au milieu de l’horreur et de la bêtise. Ce roman bouleverse par son ton et son courage, son humilité et son désir de vie.

Benoît Minville Fnac Défense

Un récit choral bouleversant […] Ce témoignage précieux, qu’on lit alors même qu’il est en train de se faire s’inscrit avec grandeur et beauté dans la trop longue liste des œuvres issues des attentats de notre époque.

Erwan Larher pose son regard d’écrivain sur cette nuit et sur l’après Bataclan avec énormément de pudeur, de justesse et malgré tout beaucoup d’humour […] On en ressort sonné, grandi et un peu plus vivant.

Delphine Eledjam-Cambet Librairie AB, Lunel

Le livre que je ne voulais pas écrire aussitôt refermé que l’envie d’en parler est irrépressible […] S’il renonce à résoudre des pourquoi impossibles, proche d’un certain fatalisme, l’auteur nous propose le monde d’Erwan comme solution bien réelle à notre environnement hostile et violent… Ce monde, c’est celui de la bienveillance, du partage, de l’amour, de la fraternité. Ce que justement, celui qui lui a mis une balle dans le derrière, cherchait à détruire. Peine perdue le rockeur aux santiags disparues ne connaît pas la haine.

Gilles Perrotin Librairie Le Marque Page, Quintin

Le livre que je ne voulais pas écrire fait partie de ces ouvrages dont il est impossible de parler en tant que libraire, il oblige à parler en tant que lecteur, dans la nudité et l’intime des nuits où on arrive pas à lâcher un livre parce que le lâcher ce serait lâcher un frère, un soi-même.
Je ne connais pas Erwan Larher, pas ce qu’il a écrit d’autre mais je reconnais dans sa sincérité, sa justesse, sa pudeur, son engagement, son humour, son humanité un membre de ma «fratrie». Ce livre bouleverse, donne des coups de pieds au cul (j’ai pas pu m’empêcher), donne à entendre ces voix que l’on croit tues, ces voix qui nous disent qu’on n’est pas seuls dans notre humanisme timide, ridicule et ravageur.

Jacques Houssay Librairie du Boulevard, Genève

Un bouquin magnifique, essentiel, drôle, pertinent, bouleversant.

Marie Musy Librairie du Midi, Oron-la-Ville, Suisse

C’est bien un objet littéraire qui sort de cette histoire. Pas un témoignage. Pas une putasserie racoleuse.

A la pulsion de mort, celle des démons terroristes dans l’âme desquels le livre fait parfois un détour, succède la pulsion de vie. L’amitié, valeur cardinale, le sexe, l’amour qui surgit et donne du sens à tout. Douloureux, ce texte est aussi, finalement, lumineux, et absolument nécessaire ! Un coup de coeur — ou plutôt un uppercut !

Caroline Doudet Cultur'Elle

Un livre qui associe comme peu légèreté et profondeur, personnel et universel. A lire, à lire, à lire.

Marc Ossorguine

Le plus bel hymne à la vie qu’on puisse imaginer.

Emmanuel Gédouin Le tour du nombril

Se réapproprier sa vie, grâce à l’amour, à l’amitié, à la création littéraire. Un message puissant de résilience.

Catherine Sallès Psychologies

Ce fichu bon bouquin fait réfléchir, ne contient pas un gramme de haine, sait demeurer pudique en dépit de tout et ne se lâche pas.

Un immense coup de chapeau !

Eve-Marie Briolat Avantages

Erwan Larher après l’indicible.

Frédérique Bréhaut Le Maine libre

Un texte plein de souffle et de vie, animé par des voix multiples.

Christophe Victor Télé 2 semaines

«Est-ce que la littérature peut dire et questionner le réel ?»

Recueilli par Florence Lambert Ouest-France

Pas sur le drame proprement dit, mais sur tous les événements autour.

Nicolas Aguirre Télé Star

Ne ratez pas cet Objet Littéraire tout à fait identifié.

Le titre d’un roman de Jonathan Safran Foer me vient à l’esprit pour décrire ce livre, Extrêmement fort et incroyablement près.

C’est une histoire qui commence par ”Tu écoutes du rock” et qui finit par “… mon amour”. C’est fort, très fort.

Nicole Grundinger Mots pour mots

Récit littéraire à hauteur d’homme, ce livre qu’Erwan Larher ne voulait pas écrire puise dans les débris d’un rêve pulvérisé une raison de vivre et d’espérer.

D’une sincérité bouleversante. L’ensemble est si bien rythmé, si bien construit, et si violemment intense que vous ne pourrez pas refermer ce livre sans vibrer encore d’une émotion à fleur de peau.

Hélène Woodhouse, libraire

Erwan Larher parvient à éviter de faire de nous des «voyeurs» tout en gardant le lecteur accroché à ces récits, ces moments suspendus, cette réalité aussi. C’est fait avec beaucoup de recul. C’est une réussite.

Corinne Laquieze Fnac Bellecour

Comment parler de soi sans prendre toute la place et adopter une position victimaire. C’est beau, pudique, drôle aussi, sincère surtout.

David Goulois Cultura Chambray-lès-Tours

Sur l’horreur, sur l’impensable, Erwan Larher pose des mots doux, justes, drôles parfois… Un grand roman nécessaire, un grand roman qui donne envie de vivre.

Bruno Lamarque Librairie La Renaissance, Toulouse

Un vrai roman, un vrai travail d’écriture […] Je vais le vendre ce putain de bouquin qui m’a serré la gorge plus souvent qu’il n’aurait dû ! Et si je n’y arrive pas c’est que vraiment, je dois faire un autre métier…

Nadège Mulé Sur les chemins du livre, Saint-Amand-Montrond

Je viens de finir Le livre que je ne voulais pas écrire. Je n’ai pas encore les mots pour dire à quel point cet «objet littéraire» m’a bouleversé mais il est d’ores et déjà «coup de cœur». J’ai hâte de pouvoir le vendre.

Corinne Hulin FNAC Quimper

C’est un livre que nous devons lire par devoir de mémoire… C’est un très beau livre qui prend aux tripes, qui vous colle une boule dans la gorge et vous donne envie de chialer, d’éteindre vos proches, de leur dire que vous les aimez…..

Sandrine Dantard Fnac Grenoble

Il ne faut pas passer à côté. Erwan Larher évite tous les pièges et nous offre un livre drôle subtil et essentiel en ces temps troublés. Un vrai vent de fraîcheur qui est franchement réjouissant.

Yohan Geffroy Librairie La Belle Lurette, Paris

Je ne sais pas si on a le droit de le dire, mais j’ai ADORE. Fin, drôle, sensible, rock… C’est à la fois une immersion romanesque et un vrai témoignage documenté. Je suis étonné d’avoir aimé, vu le sujet.

Benjamin Cornet Les Mots et les Choses, Boulogne-Billancourt

Le livre d’Erwan est le livre qui nous fallait pour parler de ce qu’il lui est arrivé, de ce qui nous est arrivé ; j’ai vécu par cette exploration intérieure/extérieur et à 360 degrés d’un moment aux milles échos, intimes et collectifs, une lecture intense, vibrante…

Sophie Garoya Nouvelle librairie sétoise

Si vous ne devez lire qu’un seul livre sur le Bataclan, choisissez celui-ci et vous en apprendrez autant sur l’immense fragilité de la condition d’Homme que sur sa formidable capacité à se relever, à poursuivre sa route et à triompher de la peur.

L'Archipel des mots, Vannes

Comme tous les grands livres, ce texte est aussi une réflexion sur la littérature — un «work in progress», dans lequel le romancier s’interroge sur son rapport au réel et à la fiction […] il n’en reste pas moins une formidable leçon de vie, d’humanité et de fraternité — la meilleure réponse au nihilisme incarné par les terroristes.

Luc Delangle, lecteur

Buissonnier des chemins embarrassés du «témoignage», tu nous traverses le cœur, Erwan Larher. Sous couvert de ta quête pudique de «l’objet littéraire», tu irradies, désarmant, d’une humanité primordiale face à l’ineffable. Et si tu nous convies à sourire après les HURLEMENTS, nous ne te lisons pas sans larmes.

Hugo Latreille Librairie Nouvelle, Asnières

Tu refermes le livre, tu es sous le choc. Non bien sûr, tu ne l’es pas, rien à voir, toi, tu es… tu es… tu ne sais pas très bien : émue, reconnaissante, contente…

Alix Geysels Et si...

Sans pathos, sans lourdeur, des mots justes servis par une très belle écriture […] Merci pour ce livre, que l’on s’empressera de faire découvrir lorsqu’il sera en librairie, à la fin de l’été, et tant pis pour les HURLEMENTS que je ne suis pas près d’oublier même si ce soir-là j’étais tranquille à la maison…

Yann Leray Alpha Bureau, Monistrol-sur-Loire

Le livre que je ne voulais pas écrire d’Erwan Larher : pourquoi il fallait l’écrire, pourquoi il faut absolument le lire !

Michel Carlier, Fabienne Plomion, lecteurs lecteurs.com

Ce livre est à l’image de son auteur : tendre et bouleversant, poignant. Il donne sa place à la littérature : se faire l’écho de l’indicible.

Charlotte Desmousseaux Librairie La vie devant soi, Nantes

Un grand roman bien loin des témoignages basiques et des poncifs habituels qui accompagnent parfois la narration de ces tragédies.

Un bel objet littéraire. Erwan Larher fait preuve d’une incroyable pudeur, d’un humour et d’une autodérision à toute épreuve.

Un livre que nous n’aurions pas voulu lire d’un auteur qui, à l’origine, ne voulait pas l’écrire.

Dans ce texte fragmenté, l’écriture est un combat affiché. Ne pas redire, ne pas trahir, ne pas faire semblant…

Isabelle Louviot

Un livre généreux et puissant, intelligent et bienveillant qui interroge autant le monde dans lequel nous vivons que la manière dont la littérature peut nous permettre de l’appréhender, un livre dans lequel chacun peut se retrouver, un livre dans lequel la dimension collective prend le dessus sur le drame individuel.

Ce ne sera que miel et justice si le succès qui s’annonce du Livre que je ne voulais pas écrire fait reconnaître ses qualités d’homme et d’écrivain.

Tilly Bayard-Richard Le blog de Tilly

Un texte intense, généreux, original dans sa construction, dans sa langue, et rempli d’un amour qui sauve tout.

Camille Brachet Vaporiser une mouche

Ne passez pas à côté de ce livre !

Virginie Vertigo Les lectures du mouton

On referme le livre regonflé d’énergie […] C’est un grand livre !

Elodie Murzi Gibert Joseph Barbès, Paris

La claque. Larmes aux yeux. Chair de poule. Emouvant. Touchant. Poignant. Drôle aussi.

Audrey Andriot Librairie Jonas, Paris

C’est très fort, déstabilisant, touchant… Très réussi !

Martin Peix Librairie Le Passeur, Bordeaux