Obsédé des chiffres, antihéros évoluant dans un monde gris, il est le prototype de l’homme ordinaire, esclave du temps qui passe qu’il interroge par son travail et la vacuité de sa vie.
Entre faux journal et roman-collage, Pär Thörn invente avec Le Chronométreur — cette parodie de roman «ouvrier» — un objet littéraire à l’humour noir jubilatoire. Dialogues incisifs, effets de listes, gimmicks, sa satire par l’absurde fait mouche : une existence fondamentalement dénuée de sens se révèle un défi stimulant.
«Le Chronométreur est un livre hilarant.» Peter Lindgren, Aftonbladet
A la recherche folle du temps gagné, montre en main […] Le portrait d’un homme aliéné par sa tâche.
Politique du chiffre. Désopilant, Le Chronométreur est une satire de la productivité compulsive.