Aller aux fraises

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Eric Plamondon

Aller aux fraises

Ce sont des souvenirs, de la nostalgie, de l’amour, de l’humour, ce qui donne l’essence d’une existence. Et vogue la vie. Eric Plamondon y place sa gouaille littéraire, c’est plus que charmant, c’est totalement attachant.

Fanny Nowak Librairie Le Grenier, Dinan

Aller aux fraises, c’est une langue qui sillonne les bois, les champs, les usines, les routes sans fin, les bords de rivière. C’est le sort de ceux qui deviennent extraordinaires à force d’être ordinaires. On s’y laisse porter par les souvenirs d’un père qui s’agrègent pour devenir les légendes du fils. Ce fils qui veut construire son propre récit et qui retrouve sa mère le temps d’un nouveau cycle.  Eric Plamondon raconte la démesure de l’ordinaire. Sur le vif. C’est aussi drôle qu’émouvant.

Entre la figure paternelle et celle toute maternelle, Eric Plamondon arrive à coincer une histoire de terroir québécois aussi alcoolisée que délectable. Tout au long de ma lecture je n’ai entendu que sa voix me lire tout haut ces tranches de vie qui ont donné naissance à un grand écrivain.

Aurélie Barlet La Pléiade, Cagnes-sur-mer

Trois textes brefs articulés autour de souvenirs du passage à l’âge adulte d’un jeune Québecois qui deviendra écrivain […] Tendresse, nostalgie heureuse, poésie d’une apparition inoubliable […] Un seul reproche : c’est trop court ! À lire lentement pour faire durer le plaisir.

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Eric Plamondon Eric Plamondon

Eric Plamondon

Né au Québec en 1969, Éric Plamondon a étudié le journalisme à l’université Laval et la littérature à l’UQÀM (Université du Québec à Montréal). Il vit dans la région...

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C’est un peu Jim Harrison au pays des caribous : détachement, anecdotes drôles et attendrissantes, un début de vie adulte parsemé de galères, d’abus et de convoitises féminines.

Warren Bismuth Des livres rances

Trois nouvelles d’inspiration autobiographique qui, sous la truculence, font la part belle à une certaine mélancolie.

Il y est avant tout question du passage de l’adolescence à l’âge adulte et c’est d’une formidable justesse.

Nicolas Aguirre Télé Star Jeux

A quoi sert un père ? Eric Plamondon raconte ce moment inouï de déchirement, inéluctable, de l’envol d’un enfant.

Jacques Lindecker L'Alsace

C’est un regard très juste, sensible et touchant sur le passage à l’âge adulte, sans jamais oublier d’être drôle, car enfin ce n’est pas un drame de grandir.

Tendre et émouvant, drôle et dépaysant, vif et subtil, cet ouvrage de trois nouvelles est un condensé de bonheurs.

Je voulais découvrir Éric Plamondon. Aller aux fraises est absolument savoureux, parfois drôle, parfois tendre. Tous ces petits riens narrés avec finesse. J’ai tellement aimé que je me suis acheté Taqawan et Oyana.

Valérie Librairie Graffiti, Castres

Trois belles nouvelles entrelacées sur le souvenir à vif, sur l’évidence et l’émotion que trop tard elle suscite […] Si on voulait être extrêmement flatteur, on penserait ici moins à Richard Brautigan qu’à Raymond Carver.

Marc Verlynde La Viduité

Qu’est-ce que c’est que cette langue extraordinaire ? Une langue parlée du Québec, truffée de mots étranges qui accrochent, une langue alcoolisée et vivante, étrangère mais compréhensible. Une sorte de miracle.

Marianne Loing Librairie Charybde, Paris

Rien d’extraordinaire et pourtant rien non plus de simplement ordinaire dans les souvenirs qui émaillent ces trois nouvelles. C’est direct, tendre, très nostalgique et terriblement vivant.

Dominique Sudre Domi C Lire

Juste, drôle et d’une grande sensibilité sur le passage à l’âge adulte. On se laisse embarquer, on se délecte de cette langue poétique qui fleure bon «le Québec». Un grand coup de cœur.

Valérie Schopp L'Arbre à mots, Rochefort

Il n’y a vraiment rien qui sorte de l’ordinaire, c’est la vie et ses drames, ses manquements et ses imprévus. C’est presque rien, et pourtant c’est dense.

J’ai adoré l’énergie de la première nouvelle, la soif de vivre que l’on ressent complètement, la fin de l’adolescence et ce léger voile d’incertitude et de nostalgie… J’allais écrire : un fond de littérature américaine à la sauce québécoise. Mais avec le parler québécois on est dans une autre dimension, c’est très vivant. Un vrai bon moment.

Romain Les Danaïdes, Aix-les-Bains

Un livre d’Éric Plamondon est déjà une bonne nouvelle, mais un recueil de trois nouvelles, ce sont trois très bonnes nouvelles !

Une petite sucrerie, un vrai régal de réconfort. Trois nouvelles faites d’anecdotes truculentes, empreintes de nostalgie et d’une bonne dose d’humour pour nous raconter l’adolescence, les amis, les parents, le passage à l’âge adulte.

Delphine M'Lire, Laval

Eric Pamondon nous plonge au cœur de son Québec et ravive la nostalgie des moments simples mais essentiels. Un vrai plaisir !

Valérie Caffier Le Divan, Paris

Des moments lumineux servis par une langue qui participe à la magie et à la poésie de ces textes. Une belle bouffée d’air frais !

Alexia Aufroy Graffiti, Castres

Dans ces trois nouvelles, Éric Plamondon évoque ses souvenirs d’adolescent. Un brin nostalgique, c’est frais et plaisant, l’ordinaire des personnages devient l’aventure sous une plume qui fleure bon le Québec !

Doriane Le Hall du livre, Nancy

Laissez-vous envoûter par le parler doux, sensible et drôle d’Eric Plamondon. Un texte sur le passage à l’âge adulte qui sonne juste. Emouvant, de plus en plus même au fur etvà mesure que l’on avance dans le livre. Coup de cœur.

Corinne Deslies-Dalloz La Librairie Polinoise, Poligny