Arelis Uribe est chilienne, journaliste, directrice de communication de la OCAC (Observatoire contre le harcèlement de rue). Un rôle qui l’a poussée à prendre des décisions politiques dans ses écrits, le fait que les hommes n’y jouent qu’un rôle secondaire. «Les auteurs chiliens reconnus sont tous des hommes (Bolaño, Fuguet, Zambra). Talentueux mais parlant d’une culture androcentriste que l’on n’interroge pas. J’ai écrit un livre au positionnement politique explicite mais ce n’est pas un pamphlet.»